Pellicano devrai prendre sa carte au PS,
car vraiment la mauvaise foi de ces deux personnages est bien du même ordre. Tellement que j’en ai repris mon Télégramme (édition du samedi).
A aucun moment Laurent Prunier ne parle de financement. C’est alain Masson qui veut faire croire à l’amalgame et par la même occasion nous faire avaler la couleuvre du financement autonome du tramway! N’en doutons pas le plan de financement du tram obère gravement les capacités d’investissement de bmo. En deux mots sous couvert de l’utilité (toujours discutable) du tram les socialistes ravalent leur ambition de faire de Brest et bmo une vraie métropole.
Non Laurent Prunier n’a parlé que d’ambition pour le foot et pour Brest.
C’est vrai qu’au PS on a l’habitude de rafistoler, faire du neuf avec du vieux qui coûte cher… très cher.
Il n’y a qu’a voir sur Guilers, ce qui a été fait du temps de l’ancienne municipalité PS pour le gymnase du basket.
Monsieur Pellicano a oublié qu’a la veille des élections municipales il était partout où il y avait des journalistes ou photographes, le principale était d’être et de paraitre…
Donc il est un peu mal venu de dire que Laurent Prunier veut prouver qu’il existe quand on a fait pire en son temps.
C’est vrai que la plus part de ses colistiers le quittent pour rejoindre … l’ump, on voit là toute son amertume envers sa famille politique d’origine se traduisant par ce coup de main donné à l’équipe Cuillandre.
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