Quand le député Jean Jacques Urvoas affiche son ignorance

Aujourd’hui à Quimper, Jean Jacques Urvoas en présence de Bernadette Chirac lors de L’inauguration du train des pièces jaunes, il a montré son ignorance.
A la fin d’une interview dans le studio embarqué de RTL, il à déclaré que les pièces jaunes ne bénéficiaient qu’aux hopitaux de Paris. A la consternation de mme Chirac qui lui à répondu: »non! Hôpitaux de Paris – hôpitaux de France ».

Je trouve indécent que ce personnage ne se soit pas intéressé un temps soit peu à la raison de sa présence dans ce train, alors que l’opération Pièces Jaunes fête ses 20 ans.
Je me demande bien ce qu’il a compris en visitant les wagons qui sont particulièrement riches en explications (texte, photos, vidéo) venant des quatre coins de France.
C’est a croire que Monsieur le Député, était venu juste pour la photo avec mme Chirac!

Jean Jacques Urvoas (photo Valente)

Jean Jacques Urvoas dans le studio RTL du train de l'opération Pièces jaunes (photo Valente)

Bretagne : Le Drian et Poignant rejoignent la fronde des mécontent du PS

La Bretagne vue par satellite

La Bretagne vue par satellite

Le sénateur maire de Lyon Gérard Collomb a lancé sur son blog la fronde contre les listes établies par la direction du PS pour les élections européennes. Elle compte déjà une vingtaine de signataires dont deux Bretons Jean Yves Le Drian président du conseil régional et Bernard Poignant maire de Quimper et député européen sortant.
Il est reproché un choix des candidats sans analyse du bilan réel et du poids politique et de l’investissement européen des députés sortants.
Il regrette notamment que la « rénovation » du parti entamée au dernier congrès ait été « renvoyée aux oubliettes » et qualifie de « parodie de démocratie ». Les signatures appelle les militants a rejeter les listes en votants contre ou en refusant de participer.

Voilà qui en dit long sur l’état de déconfiture ou se trouve le parti socialiste, il n’est pas en deux parties mais en miettes. Ce n’est pas avec ça qu’ils vont affronter la crise et défendre les intérêts des Français.
Je vous invite à y réfléchir avant de mettre votre bulletin dans l’urne, il en va de l’avenir de la France dans l’Europe.